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  • Alain Jacobs

Patrick Coq et le tarot de Jacques Viéville.


Alain Jacobs :


Pourquoi était-il nécessaire et important d’éditer à nouveau le Tarot de Jacques Viéville?



A l’origine, je désirais simplement publier mon essai de décryptage du tarot de Viéville et si l’édition Héron Bœchat du tarot de Viéville avait été encore disponible à cette époque, cela m’aurait convenu ; d’autant plus que j’ignorais à quel point cette édition était imparfaite… Mais elle était épuisée et un livre sur le tarot de Viéville sans le tarot de Viéville était un non sens. Qui plus est, l’absence de ce magnifique tarot eût été une vraie perte dans le petit monde du tarot.

Certains l’ont compris, je suis un inconditionnel du tarot de Viéville. Je le considère comme la perle sur la couronne. Pourquoi ? Il est à mes yeux le plus cohérent – c’est-à-dire que tous les détails sont corrélables et font un sens commun. Je vais essayer de résumer cette opinion par un seul exemple : l’opposition du rouge et du noir (le noir représentant l’inertie, la passivité mais aussi la réflexion et le rouge l’activité, le mouvement mais aussi la précipitation, le manque de réflexion). Ce codage est très simple et s’avère fabuleusement instructif. Avec cette unique clé de compréhension on arrive déjà à des résultats de décryptage encourageants. Bien sûr cette clé n’est pas la seule et toutes les clés cumulées permettent d’entrer dans le jeu, d’appréhender objectivement le sens des arcanes. La preuve de cette cohérence doit se trouver prioritairement dans les arcanes mineurs. Un tarot exceptionnel doit permettre un décryptage cohérent des arcanes mineurs.

Le tarot de Viéville n’est pas le seul tarot à être exceptionnel. Il y en a quelques autres, qui d’ailleurs mériteraient une belle réédition, fidèle à l’original, mais aussi qui attendent d’être décryptés par un chercheur passionné, motivé et…jeune, car la recherche prends du temps.


L’étude et l’observation de ce Tarot unique et particulier permettrait-elle de mieux comprendre les Tarots d’autres Traditions?


Plus ou moins. Par exemple, l’opposition du rouge et du noir – schématiquement le noir indiquant la passivité et le rouge l’activité – ne se trouve que dans le Viéville. Par contre la division de la carte en deux carrés, le carré supérieur représentant le Ciel et le carré inférieur, la Terre, est aussi inscrite dans le tarot de Marseille ; à l’Amoureux, au Chariot et au Jugement par exemple. Maintenant, est-ce que les maître-cartiers de la tradition du tarot de Marseille étaient conscient de ce code de cryptage ? Plus ou moins et dans une mesure difficile à déterminer. Mon ressenti est qu’une majorité de maître-cartiers ne savaient pas ou plus la signification profonde de ce qu’ils recopiaient ; spécialement dans la tradition du tarot de Marseille qui est avant tout une tradition de recopiage, me semble-t-il.


Le mélange de deux Traditions (Milanaise et Bolonaise?) au sein d’un même jeu avait-il un but précis, lors de sa conception?


Je n’ai pas d’opinion arrêtée sur cette hypothèse de deux traditions (Milanaise et Bolonaise) au sein du Viéville, auxquelles vous faites référence. A vrai dire, plus que l’aspect historique du tarot c’est son aspect cryptage qui me passionne au plus haut point, et d’une manière générale le cryptage dans l’image. Toutefois cette question des traditions est captivante. Ainsi je pense que pour le tarot il y a des traditions à partir d’un tronc commun.

Le tarot de Paris et le tarot de Viéville, deux tarots du 17ème siècle, ont indéniablement des points communs avec le tarot de Marseille mais je crois qu’ils représentent deux traditions distinctes, avec le tarot de Marseille mais aussi entre eux. Dans le même ordre d’idée le tarot de Sola Busca, qui date de la fin du 15ème siècle, a un tronc commun avec nos tarots plus modernes mais c’est incontestablement une autre tradition, d’autres codes, une autre source culturelle, romaine vraisemblablement, même si l’alchimie y est omniprésente. Aussi, le jeu Ambraser Hofamterspiel de 1455 où les similitudes avec nos cavaliers du tarot de Marseille, et surtout du tarot de Viéville, sont troublantes ; mais c’est incontestablement un tarot issu d’une autre tradition, aujourd’hui obsolète. Un autre exemple significatif : le tarot de Mantegna, créé vers 1465, a des points communs avec nos tarots plus contemporains mais sur la forme générale il est complètement différent.

On peut supposer qu’à partir d’un tronc commun du tarot, dans un jeu de tarot certaines cartes ont variées parce que le maître-cartier a trouvé une nouvelle source d’inspiration dans des textes anciens ou nouveaux, des gravures, des codes de maître graveur, d’enlumineurs, de sculpteurs, etc., et bien sûr dans les jeux des autres maîtres-cartier. Le but de ces ajouts, de ces variations sur un thème commun, était de renouveler l’inspiration, de faire évoluer la représentation du tarot. Car, comme toutes choses, le tarot n’est pas figé pour l’éternité. Théoriquement, il devrait évoluer au rythme même où l’humanité évolue.


Vous prétendez que « le Tarot, avant d’être divinatoire, est fondamentalement ésotérique et l’appellation de Tarot ésotérique décrit bien la première et véritable nature du Tarot. » Qu’entendez-vous par là?


Dans mon ouvrage « Les Mystères du tarot de Viéville » je prends l’exemple des sortes, pratique divinatoire qui consistait à ouvrir la Bible à une page au hasard et recevoir ce que l’on lit comme un présage. Cette pratique (encore utilisée par les mollahs d’Iran avec le Coran) a été condamnée par les autorités ecclésiastiques de l’époque avec plus ou moins de succès parce que c’était d’abord le clergé qui s’adonnait à cette pratique. Pour autant, tout le monde sait que la Bible n’est pas un support divinatoire mais bien un recueil de textes mystiques teinté d’ésotérisme.

Dans un même ordre d’idée, il ne viendrait à l’idée de personne aujourd’hui de jouer au tarot selon les règles du 17ème siècle. Pourtant, à cette époque, il est probable que la majorité des gens considéraient le tarot comme un simple jeu de carte.

En réalité, si l’on se replace dans le contexte du 17ème siècle du Viéville, le tarot se révèle être un camouflage. Le tarot a deux aspects, deux visages, que l’on retrouve dans son nom. Son nom exotérique est tarot et son anagramme donne son nom ésotérique : rota. Le terme rota, la roue, doit être compris comme rota mundi, « la roue des mondes », une notion particulièrement occulte.

Prenez le tarot de Mantegna (fin du 15ème siècle) qui est exceptionnel à tous points de vue. C’est un des rares tarots où l’ordre est incontestable puisque les arcanes sont marqués de 1 à 50, du I Misero à l’arcane L (50) Prima Causa ; synthétiquement, le Misero comme représentant le plus bas de l’échelle sociale jusqu’à l’arcane L représentant l’idéation cosmique la plus élevée. Il y a indubitablement la représentation d’une hiérarchie sociale dans les dix premiers arcanes, d’une hiérarchie spirituelle dans les arcanes suivants et d’une hiérarchie cosmique dans les dix derniers arcanes, car dans la cosmogonie des Anciens les planètes étaient avant tout considérées comme des entités spirituelles. Quand on y réfléchit bien, c’est une vision vertigineuse de l’ordre cosmique que nous propose ce tarot. Au contraire, l’aspect divinatoire de ce jeu n’est vraiment pas évident. D’après moi, c’est clairement un tarot ésotérique.

Ainsi je postule que le tarot est avant tout ésotérique – du moins les plus beaux, les plus purs, c’est-à-dire les plus cohérents. Le tarot recèle un savoir mystique et ésotérique, une doctrine cachée sous l’apparence d’un anodin jeu de cartes à jouer. Et là est sa force : l’image est magie et touche au fondement de l’âme, et révèle le caché à celui qui sait ressentir et observer. Tout comme la Nature d’ailleurs. En plus l’image parle même à l’analphabète, celui qui ne sait pas lire, pour peu qu’il soit observateur. Peut-on rêver meilleur outil de propagande, de diffusion d’un savoir occulte ?

Cependant le tarot est multiple par nature. La plasticité de sa représentation est telle qu’il peut être considéré comme un jeu de carte, un support divinatoire ou un condensé ésotérique. Il est vraiment universel et chacun y trouvera ce qui lui convient. C’est un miroir de l’âme.


Que pouvez-vous nous dire de « la musique tarologique », qu’est-ce exactement?


C’était une boutade…j’ai utilisé ce terme sur un forum et sans arrières pensées parce que j’ai découvert qu’un compositeur (Richard Dubugnon) avait écrit une symphonie de très belle facture sur le tarot, « Arcanes symphoniques opus 30 ».

Quelle importance peut-on donner aux couleurs dans le tarot? Elles n’ont pas toujours eu la même signification au cours du temps et elles ne sont pas comprises de la même manière, selon les lieux, les époques et les cultures. Alors, selon vous, les Cartiers avaient-ils réellement une intention derrière la mise en couleurs de leurs jeux?


L’art de la carte est l’art de loger le maximum d’informations en un minimum de place. La Mappemonde, la carte du monde, est la représentation physique de notre planète sur un support facilement transportable et facilement intelligible. L’analogie avec notre tarot est évidente. Sur une carte, la couleur représente conventionnellement une information. Sur la carte géographique, le vert représente la terre. Indéniablement, dans le tarot la couleur est un codage symbolique, mais c’est nettement plus compliqué que pour une carte marine… Il faudrait pouvoir se guider avec de très bons ouvrages comme « Des couleurs symboliques » de Portal. Mais, à ma connaissance, il n’existe qu’une étude d’une telle portée. Les ouvrages de Pastoureau sur la couleur sont passionnants mais ne nous apportent qu’une aide partielle car ils nous renvoient à cette variable qu’est l’acceptation des couleurs dans le cours du temps. Qui plus est les couleurs sont systématiquement ambivalentes.

Maintenant la principale difficulté pour la compréhension des couleurs dans le tarot c’est de savoir s’il y a vraiment une cohérence dans la représentation et, inévitablement, se repose la même et lancinante interrogation : quels maître-cartiers connaissaient et comprenaient la signification profonde des couleurs ? Pour avoir passé un temps considérable à l’étude du tarot de Viéville, je n’ai aucun doute que Jacques Viéville connaissait dans ses moindres détails les implications des couleurs qu’il apposait dans son tarot. Probablement Jean Dodal avait-il la même maîtrise des couleurs pour son tarot mais sincèrement je serais bien incapable d’en énoncer les principes. Ce n’est pas pour autant que l’on ne puisse déchiffrer ce code des couleurs mais j’en laisse le soin à d’autres.

Aujourd’hui, dans nombre de tarots modernes, il me semble que la couleur n’est plus symbolique – c’est-à-dire signifiante – mais simplement esthétique. Autrement dit, dans ces tarots la couleur ne fait plus sens.


Qu’en est-il, toujours selon vous, de l’opérativité des Tarots? Une idée séduisante attribuée à la disposition des formes et des couleurs entre-elles dans les cartes… Dans l’affirmative de l’existence de cette opérativité, est-il suffisant et efficace d’étudier et d’observer un jeu quel qu’il soit, ancien ou moderne, restitué ou en fac-similé?


J’ai cru comprendre que l’expression « opérativité des tarots » désignait une sorte de catharsis [la catharsis est l’épuration des passions par le moyen de la représentation dramaturgique]. C’est tout à fait plausible parce que le tarot, le petit monde, contient et résume l’essence du monde. Par son symbolisme il emmagasine une représentation où chacun – essentiellement inconsciemment – percevra ce qui le concerne au plus profond de son être. Donc, parfois, la vue de certains arcanes sera une révélation pour le lecteur et pourra occasionner une réponse d’autant plus forte. Le tarot opère comme un miroir, c’est un miroir de l’âme.

Si cette opérativité fonctionne généralement avec tous les tarots c’est probablement parce qu’il y a un tronc commun propre à tous les tarots (que j’évoquais plus avant dans cette interview). Pour autant je suis convaincu que cette opérativité – et la catharsis qui l’accompagne – est d’autant plus profonde que le tarot est perfectionné, c’est-à-dire avec une représentation symbolique puissamment cohérente et parfaitement maîtrisée. C’est tout à fait le cas avec le tarot de Viéville qui, par exemple, recèle en son sein de nombreuses images subliminales. Ces images bien cachées, visible par une longue et attentive étude ou plus rarement spontanément, sont un des facteurs inconscient éventuellement déclencheur de cette catharsis. C’est la maîtrise de tous les facteurs qui fait qu’un tarot est plus opératif qu’un autre.


Le Tarot en tant qu’outil de magie tel qu’évoqué par Didier Verner, en référence à Papus et Eliphas Levi m’intéresse grandement! Que pourriez-vous nous dire à ce propos?

Par ailleurs, leur magie peut-elle se manifester dans les tirages automatiques qui foisonnent sur le web?

Certains sont bien conçus et semblent même pertinents… quelle confiance leur accorder?


Je ne pense pas que les tarots soient réellement magiques par eux-mêmes. J’ai la conviction qu’ils sont réductibles et explicables rationnellement. Ils sont seulement d’une stupéfiante complexité et à mon avis le fruit d’un savoir multiséculaire. Cependant ils peuvent être considérés comme magiques dans la mesure où ils forment, par leur assemblage de cartes, une mappemonde de l’univers visible et invisible, le microcosme comme reflet du macrocosme, le petit monde comme reflet du grand monde.

Ce qui peut être vraiment considéré comme magique – entendu comme ce qui ne peut pas être expliqué rationnellement d’une manière scientifique – c’est le tirage des cartes. Je reste stupéfait de voir comment une personne qui, par exemple, est dans une procédure de divorce violente tirera les cartes qui correspondent à cette situation. Que se passe-t-il ? Par quel mécanisme la personne – ou faut-il dire l’esprit ? – peut-elle choisir les cartes les plus pertinentes alors qu’elles sont mélangées et retournées ? C’est là un grand mystère, c’est vraiment magique.

Concernant les tirages automatiques, c’est une illusion. Un automate même bien programmé n’aura jamais le ressenti d’un humain. Et le tirage des cartes, pour le devin c’est d’abord une perception, une alchimie où opère le visible et l’invisible, où l’indicible devient dicible. Si la connaissance du tarot est optimale alors la sensation énergétique devient primordiale et pour cela il est indispensable qu’il y ait un lien physique, idéalement que le consultant soit physiquement présent pour que l’intuition opère.


Vous finissez un livre d’interprétation des cartes du Tarot de Jacques Viéville pour ceux qui s’intéressent à l’aspect divinatoire du jeu. En quoi ces interprétations seront-elles originales et comment fait-on pour donner un sens divinatoire aux cartes, sur quoi s’appuie-t-on précisément?


A mon sens le grand problème de l’interprétation du tarot, c’est les arcanes mineurs. Autant il est – relativement – aisé de fournir une interprétation des arcanes majeurs, autant il est difficile de fournir une interprétation rationnelle des arcanes mineurs, une interprétation qui ne soit pas arbitraire. Le symptôme visible de cette problématique est justement qu’aujourd’hui la tendance est à éditer des jeux de tarot ne comportant que les 22 arcanes majeurs. C’est à mon avis bien dommage de se priver des 56 mineurs.

Je n’irais pas par quatre chemins : j’estime que dans les tarots modernes – et spécialement dans le tarot de Marseille/Grimaud de Paul Marteau – les arcanes mineurs ont tellement été aseptisées par l’effacement des détails signifiants qu’ils en sont devenus vides de sens, incompréhensibles. Un seul exemple peut vous éclairer : Paul Marteau a introduit une stricte symétrie dans beaucoup d’arcanes mineurs. C’est un contresens car cela désoriente complètement la carte. Comme en toutes choses il y a un haut et un bas dans une carte – un ciel et une terre – et la carte change de sens selon que la terre est au ciel, autrement dit « cul par-dessus tête », comme le personnage de l’arcane XII du Viéville qui est en lévitation ou peut-être pendu. Egalement, il ya une polarisation gauche/droite. Un arcane mineur doit pouvoir garder un sens malgré une apparence de symétrie : à un endroit précis de la carte il doit exister un indice qui oriente la carte, et donc le lecteur. Pouvons-nous imaginer une carte marine sans l’indication du nord ? Par analogie, le nord magnétique dans le tarot c’est symboliquement le Ciel, l’aspect spirituel le plus élevé, et l’aiguille de la boussole c’est l’âme qui nous indique invariablement la direction du Ciel. Littéralement et symboliquement, il s’agit de la quête du sens. Dans le même ordre d’idée, il faut se souvenir que l’esprit du tarot est formalisé sur une carte ; fondamentalement c’est un codage où un maximum d’informations sont cryptées en un minimum de place. Dans le tarot de Viéville il n’y a pas deux deniers, deux coupes ou deux bâtons qui sont identiques. Remarquez le nombre variable de divisions sur le corps des coupes, ce sont des indications : cinq divisions est la norme, six une progression et sept l’exceptionnel. Aussi, le nombre de « dents » sur les deniers qui varie de 12 à 17 peut être interprété. Il en va de même pour le cadre de la carte : les surépaisseurs signalent une fermeture excessive et l’effacement du cadre dessine une fenêtre ouverte sur un au-delà visionnaire, dans une des quatre directions privilégiées : à gauche le passé, à droite le futur, en haut le ciel supérieur et en bas la terre inférieure.

Dans un tarot cohérent chaque détail est signifiant, tout fait sens.

Mes interprétations ont cela d’original que justement elles s’appuient sur les clés de cryptage que j’ai mis en évidence dans le tarot de Viéville (l’orientation avec l’ouest et l’est, le double carré avec le ciel et la terre, la signification des couleurs, les informations données par le cadre, l’asymétrie gauche/droite et haut/bas, etc.) et sur tous ces infimes détails qui sont autant d’indications si l’on arrive à les corréler.

Pratiquement, je m’appuie sur les deux tomes de mon essai de décryptage du Viéville : « Les Mystères du tarot de Viéville ». Dans ce livre je m’attachais à expliciter le sens profond des arcanes et ainsi je fournissais des clés et des éléments de compréhension au lecteur et je lui laissais la liberté d’en arriver à ses propres conclusions, à sa propre interprétation.

Toutefois, d’après ma modeste expérience d’éditeur de tarot, j’ai pu constater que ceux qui s’intéressent à l’aspect divinatoire du tarot sont bien plus nombreux que ceux qui s’intéressent à son aspect ésotérique. Un certain nombre de lecteurs de mon livre ont ressenti une frustration au fait que je ne donnais pas une interprétation synthétique complète des arcanes. Ainsi, ce petit livre d’interprétation du tarot de Viéville sera là pour corriger cet aspect. Toutefois, si l’interprétation est de caractère pratique, je m’attache à conserver et donner l’aspect philosophique et/ou ésotérique de la carte.

Plus tard je prévois une série de vidéos qui expliquera carte par carte et point par point le pourquoi du comment des interprétations synthétique que je donne dans ce petit livre. La vidéo me paraît très appropriée pour expliciter l’image et il y en a quelque unes de visibles sur mon site.


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